64000 personnes, un nouveau record consécutif depuis 3 ans. L’augmentation de cette année peut s’expliquer comme le disent ouest-france par l’augmentation de la jauge du parc expo qui passe de 12000 à 13600 personnes par soir grâce au nouveau hall 8.

La qualité de l’évènement est toujours là, ses passerelles musicales aussi. Chaque jour des découvertes ont parsemé nos déambulations sonores : celles des concerts Sekuoia, Kate Tempest, Cosmo Sheldrake, DBFC, Oso Léone, Den Sorte Skole, Vaudou Game, Lizzo et celles de la prog qu’on n’a pas pu voir (mais dont on a entendu parler) Jeanne Added, Songhoy Blues, Pierre Kwenders, Smoove & Turrell, Thylacine, Shamir, Islam Chipsy…

Moins de rock, beaucoup de cuivres, de musiques d’ailleurs qui vont se métisser avec la musique occidentale (et non l’inverse). Des musiques enjouées qui nous ont fourni un bon remède anti-crise, en terminant sur une touche plus sombre et machinale.

Cette année, crise oblige, nous avons pris les bus, le service fonctionne parfaitement, on attend relativement peu (moins que pour des taxis), et on reste dans l’ambiance.

Comme pour les records successifs d’affluence, l’année dernière, on parlait d’édition parfaite, on peut surenchérir une nouvelle fois.

Merci à toutes les personnes qui ont permis cette réussite.