Transmusicales 2010, jeudi

le 10 décembre 2010, par

Déjà, c’est bien les transmusicales le jeudi. Moins de monde, on circule mieux, et la qualité de programmation est toujours au rendez-vous. L’année dernière le jeudi, c’était au Liberté. Dans la ville. Déambulation musicale urbaine, pas entravée par la longue coupure en bus ou taxi ou voiture, mais un peu exigüe maintenant dans les salles du liberté (celle du haut en tout cas). Au parc expo, pas de soucis, il y a de la place. Le Hall9 est fermé, ce qui fait un peu teasing pour les soirées suivantes… pourquoi pas.

Premières claques. D’abord toujours l’arrivée au Parc Expo, avec la taille du site, l’aménagement (thème maritime, avec des méduses en guise de lustres, des images de poulpes dans le hall 5), et le son. Précis, net, pas simple dans des salles aussi grandes. Sobriété des lumières, mais élégantes, et mettant en scène la musique avec par exemple ces rétro éclairages des structures d’arrière scène.

Et puis hier pour la musique, nous sommes arrivés trop tard pour Lars & the hands of Light et the Phénoménal Handclap Band.

En revanche à l’heure pour Donso, groupe Franco-Malien, association entre DJ Krazy Baldhead du label Ed Banger avec le musicien malien Gédéon Diarra. Puis se sont ajoutés Thomas Guillaume, joueur de Donso N’Goni (instrument malien) et Guimba Kouyaté guitariste (entre autres). Ils étaient contents d’être là, et leur enthousiasme était communicatif. Musicalement très diversifiés dans les instruments et les genres, c’est un heureux mélange entre des sonorités africaines et de l’électro-pop européenne. Une association pas encore faite (en tout cas aussi bien), nous avions eu du mélange entre electro et musique berbère (Mig à leurs débuts), musique hongroise (Oi va voi), voici de la musique malienne “électronisée”.

Egyptian Hiphop, un joyeux bordel fait par de jeunes touches à tout : de la guitare, des claviers, batterie, des boucles, ils marient très bien la musique synthétique avec un son funk-rock un peu déglingue.

Un peu plus classique mais pour rester dans le pop-rock, Funeral Party une voix à la U2, avec un style un peu plus énervé et rugueux, mais mélodieux. Ils jouent bien et c’est efficace.

Et puis côté électro, il y avait Beataucue, dont le nom en français ressemble toujours à un vieux jeu de mots de potache dans un univers assez anglophone (on parle bien de French Touch). Ces parisiens m’ont aussi donné l’impression au départ d’une farce musicale, avec des montées-descentes sonores répétitives (et répandues dans la techno minimale ces derniers temps). Et puis, sur certains passages, une harmonie ressort de l’ensemble et l’énergie de leur beat passe alors dans le public.

Et puis The Toxic Avenger, guitare, claviers, boucles, pour une musique puissante. La scène était assez esthétique avec le nom de leur prochain album : Angst.

A suivre ce soir pour une soirée plus riche (entre autres Oy, Is Tropical, Connan Mockasin, Alex Metric, Raph Dumas & The primaveras & Cobla la Mil.Lenaria, Matmon Jazz by Ordoeuvre, Janelle Monae, M.I.A). Paraît-il que c’est complet.

Transmusicales 2010, la programmation

le 22 novembre 2010, par

visuel trans 2010

Alors, les nuits sonores ?

le 18 mai 2010, par

C’est toujours un peu difficile de donner un avis global en ayant vu qu’une partie de ce qui s’est joué, et en étant arrivé “que” vendredi. Mais j’ai trouvé cette édition bien plus intéressante que celle de l’année dernière. La programmation était plus riche, notamment samedi soir, en restant pointue. L’organisation bien aussi, puisqu’il y avait environ 11000 personnes par soir, soit 30% de plus que l’année dernière, et on circulait bien au marché gare. Le son était bon, un peu moins en scène 2. Le festival est toujours résolument urbain, et pour la 2e année consécutive, les grosses soirées se passaient au marché gare. Le site est derrière la gare Perrache, à 20 minutes à pied. C’est toujours un peu magique de déambuler dans ces anciens entrepôts de la SNCF, réarrangés pour accueillir un festival. Ambiance post-apocalyptique avec une illusion de liberté et de fête interminables.

Pécs

le 2 mai 2010, par

La ville de Pécs (cinq églises en français) est au sud de la Hongrie, à 50km environ de la Croatie et une centaine de la Serbie. Elle est sur la même latitude que Lyon, à un peu plus de 1000km à l’est.

Le lac Balaton - Tihany

le 1 mai 2010, par

Autour du lac Balaton, la presqu’île de Tihany est magnifique. C’est une petite ville sur une colline verdoyante qui surplombe le lac de couleur bleu-vert.

Le lac Balaton - Keszthely

le 1 mai 2010, par

Kesthely est une ville située à l’extrême ouest du lac. Ses plages sont moins fréquentées que celles des villes proches de Budapest (en été car au moment où nous y étions, il n’y avait personne). Les deux plages sont jolies et font un peu penser aux plages d’Annecy.

Le lac Balaton - Héviz

le 1 mai 2010, par

A quelques kilomètres de Keszthely se trouve le 2e plus grand lac thermal au monde (après “The Frying Pan flat” en Nouvelle Zélande dans le Parc de Waimangu) dont la température varie entre 24°C l’hiver et 34°C l’été.

Kalandor Resort

le 1 mai 2010, par

De même que pour Tisza Lodge, si vous cherchez une chambre d’hôtes dans la nature aux alentours du lac Balaton cette fois-ci, vous pouvez aller à Kalandor Resort. Ce sont de petites maisons indépendantes pour quatre personnes, avec une cuisine.

Abádszalók

le 1 mai 2010, par

Station balnéaire au bord du lac Tisza, elle permet d’imaginer facilement comment étaient les centres de vacances de l’ancien bloc communiste. En avril, saison morte, vous avez l’impression que tout le monde a déserté en laissant les choses comme elles étaient. C’est un peu surréaliste, comme cette plateforme qui mène à un téléski-nautique composé de quatre gros pylônes paraissant avoir été engloutis par les eaux du lac.

subscribe via RSS